« Il y a une volonté d’avoir d’autres scénarios d’habitation collective pour les aînés. La nouvelle génération de personnes âgées veut être plus autonome, vivre plus longtemps chez elle ou sinon dans un environnement collectif, mais plus petit que ce qu’il y a sur le marché », résume Suzanne Garon, chercheuse au Centre de recherche sur le vieillissement, professeure à l’Université de Sherbrooke et directrice du programme Municipalités amies des aînés, qui est en cours dans plus de 900 municipalités au Québec et qui a été repris par l’Organisation mondiale de la santé.

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